Candidat dans la 10e circonscription des Bouches-du-Rhône, il est le doyen de l’Assemblée nationale sous la XVIe législature. Il a rejoint le Front national en 1978.
Wikipedia rappelle son intérêt marqué pour l’Algérie française et l’OAS…
« Âgé de 79 ans, il devient le doyen de la nouvelle Assemblée nationale et préside en cette qualité la première séance de la XVIe législature, qu’il ouvre en prononçant un discours évoquant avec émotion l’Algérie française dans laquelle il est né et qu’il a fuie à l’issue de la guerre : « Vous voir réunis côte à côte […] est un symbole d’unité française. Ce symbole d’unité touche l’enfant d’une France d’ailleurs que je suis, arraché à sa terre natale et drossé sur les côtes provençales par le vent de l’Histoire en 1962. J’ai laissé là-bas une partie de ma France ». Ces déclarations, qui interviennent le surlendemain d’un week-end d’hommage à l’« œuvre coloniale » organisé par la mairie RN de Perpignan et exactement une semaine avant le soixantième anniversaire de l’indépendance algérienne, loin d’être applaudies à gauche sont vivement critiquées par des élus de la NUPES. À la sortie de l’hémicycle, José Gonzalez renchérit en déclarant : « Des crimes en Algérie ? Non […] et encore moins un crime contre l’humanité […] Si je vous emmène avec moi en Algérie […] vous verrez beaucoup beaucoup beaucoup d’Algériens qui n’ont jamais connu la France, et qui nous disent : « Monsieur, quand est-ce que vous revenez. » […] Franchement, je ne suis pas là pour juger si l’OAS a commis des crimes ».«